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Il n’y a pas de statut idéal pour créer une entreprise de VTC. Tout d’abord, il faut faire entre devenir VTC auto entrepreneur ou créer une société.
Un auto-entrepreneur profite d’un abattement correspondant à ses frais hypothétiques. Cependant, un chauffeur VTC a de nombreux frais (essence, entretien, réparation, assurance), ce qui explique qu’un certain nombre de chauffeurs décident de créer une société. La plupart des chauffeurs VTC optent pour la SASU pour sa simplicité et pour bénéficier du régime social des assimilés salariés à la place de la Sécurité sociale des Indépendants (ex RSI).
Pour exercer l’activité de chauffeur VTC, vous devez obligatoirement obtenir une licence VTC et pour cela vous devez être inscrit au registre des VTC.
Cette inscription obligatoire est nécessairement réalisée en ligne après la création de votre entreprise VTC. Le délai moyen pour obtenir cette inscription est d’environ un mois, et elle doit être renouvelée tous les 5 ans. L’offre Legalstart inclut cet enregistrement après la création de votre société VTC.
Les différences entre taxi et VTC résident aussi bien dans le mode d’obtention de l’autorisation d’exercer l’activité, que dans la pratique du métier.
Contrairement aux VTC, les taxis doivent obligatoirement être en possession d’une Autorisation de stationnement (ADS) qui est le nom officiel de la licence de taxi. Si un chauffeur VTC ne peut pas devenir taxi, le taxi peut lui devenir chauffeur VTC. Il est cependant obligatoire de réaliser une formation VTCet de réussir l’examen VTC. C’est le passage obligé pour décrocher la carte professionnelle VTC. Enfin, si le chauffeur VTC ne peut pas pratiquer la “maraude” en recherchant les clients directement dans la rue, le prix de la course est fixé librement contrairement aux taxis.